Il était le gentleman cambrioleur le plus célèbre de la télévision française. Georges Descrières, héros pour jamais de la série Arsène Lupin (1971-1974), nous a quitté après une carrière bien remplie, notamment au théâtre. Au cinéma, il débuta dans Le rouge et le noir (Autant-Lara, 1954) et participa à quelques films, la plupart du temps face à une grande vedette : ainsi des Aristocrates (La Patellière, 1955), L'homme à la buick (Grangier, 1968) ou Le sucre (Rouffio, 1978). On le retrouve aussi dans plusieurs nanars dont le "classique" Mon curé chez les nudistes (Thomas, 1982) ainsi qu'en mousquetaire, compagnon de Gérard Barray, dans Les trois mousquetaires (Borderie, 1961). Sa voix et son élégante allure n'étaient pas sans rappeler celles de Pierre Fresnay et je suis convaincu que Georges Descrières aurait été excellent dans nombre de ses rôles. Il fut, hélas, sous employé au cinéma.
lundi 21 octobre 2013
Décès de Georges Descrières (1930-2013)
Il était le gentleman cambrioleur le plus célèbre de la télévision française. Georges Descrières, héros pour jamais de la série Arsène Lupin (1971-1974), nous a quitté après une carrière bien remplie, notamment au théâtre. Au cinéma, il débuta dans Le rouge et le noir (Autant-Lara, 1954) et participa à quelques films, la plupart du temps face à une grande vedette : ainsi des Aristocrates (La Patellière, 1955), L'homme à la buick (Grangier, 1968) ou Le sucre (Rouffio, 1978). On le retrouve aussi dans plusieurs nanars dont le "classique" Mon curé chez les nudistes (Thomas, 1982) ainsi qu'en mousquetaire, compagnon de Gérard Barray, dans Les trois mousquetaires (Borderie, 1961). Sa voix et son élégante allure n'étaient pas sans rappeler celles de Pierre Fresnay et je suis convaincu que Georges Descrières aurait été excellent dans nombre de ses rôles. Il fut, hélas, sous employé au cinéma.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
2 commentaires:
C'est Arsène Lupin qui m'aura marqué, plus que mon curé chez les nudistes !
Excellent aussi dans la pièce "De doux dingues" de Jean Le Poulain.
Enregistrer un commentaire